Budget Participatif 2019

Mener une étude pour identifier les moyens les plus efficaces pour lutter contre les pollutions sonores les plus importantes Dans une ville, le niveau moyen de bruit est lié à l’activité de la ville et notamment des gens qui y circulent. La circulation automobile est responsable d’une partie de cette pollution sonore, mais pas uniquement.Les scooters à moteur thermique notamment sont une source puissante de pollution sonore qui pourrait être facilement remplacée par des solutions plus silencieuse (scooters électriques, vélos à assistance électrique, vélos etc.).En outre, ces véhicules thermiques sont parmi les plus polluants en proportion de leur faible poids, contribuant à la pollution de l’air. Pour réduire le nombre de ces véhicules, une étude pourrait être menée pour accompagner les sociétés qui utilisent surtout ces scooters, telles les pizzerias et autres sociétés de livraison à domicile, et les inciter à remplacer leurs véhicules thermiques.En deux ans, des expériences pourraient être menées avec des établissements partenaires, et par exemple, en lien avec d’autres modes alternatifs de livraison (livreurs à vélo par exemple).Pour associer le consommateur à ces changements, il pourrait ainsi être créée une option "livraison sans pollution ni bruit", en option à la commande...Pour inciter les sociétés à s'inscrire dans cette démarche, des aménagements pourraient leur faciliter le stationnement des véhicules, la recharges des batteries etc. (à étudier au cas par cas ou par zone regroupant plusieurs de ces sociétés ?)Pour les particuliers qui utilisent ces scooters, mener des actiosn de sensibilisation aux nuisances sonores, et aider au développement de modes de transports alternatifs moins bruyants.L’objectif serait bien d’aboutir, à terme, au remplacement de l’ensemble de ces véhicules de livraison et donc à un vrai gain en terme de moindre bruit sur la ville et de qualité de l'air, contribuant à la rendre plus agréable encore.