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Changements sur "Réduction drastique de la place de la voiture"

Avatar: Loïc Gombeaud Loïc Gombeaud

Titre (Français)

  • +Réduction drastique de la place de la voiture

Corps du texte (Français)

  • +
    Résumé de votre contribution

    La voiture individuelle est la cause de nombreuses nuisances, alors que l'écrasante majorité des trajets urbains pourraient aisément être réalisés autrement. Réduire drastiquement la place de la voiture, c'est permettre le développement d'alternatives plus efficaces, plus agréables, et plus vertueuses.





    Votre contribution

    La voiture individuelle, qu'elle soit thermique, électrique ou hybride, est à l'origine de bien des nuisances. Depuis son apparition il y a environ un siècle, et son essor il y a environ un demi-siècle, Bordeaux (comme d'autres villes en France et dans le monde) s'est ré-imaginée, re-structurée et re-construite autour d'elle. Sa présence est aujourd'hui considérée comme normale, acquise, faisant partie intégrale du tissu urbain. Il est grand temps de remettre en cause cette hégémonie : non, pour le plus grand nombre des usages, la voiture n'est pas indispensable ; non, il n'est pas "normal" que l'on accorde tant d'espace à un moyen de déplacement inefficace, bruyant, polluant et dangereux ; non, il n'est pas normal que nos rues soient encombrées d'engins privés ; non, il n'est pas normal que les humains en dehors des voitures soient quotidiennement mis en danger par ceux dans les voitures. Osons ré-imaginer nos rues et nos déplacements ; faisons plus de place aux moyens de transport réellement efficaces (tram, bus, marche, vélo) ; laissons également plus de place à la végétation ; au lieu de nous laisser envahir par le stockage automobile, créons dans nos rues des lieux apaisées de convivialité, d'échange, et de lien social.






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    Individuel

    Si la contribution est collective, au nom de quel collectif ?



    Votre contribution

    La voiture individuelle, qu'elle soit thermique, électrique ou hybride, est à l'origine de bien des nuisances. Depuis son apparition il y a environ un siècle, et son essor il y a environ un demi-siècle, Bordeaux (comme d'autres villes en France et dans le monde) s'est ré-imaginée, re-structurée et re-construite autour d'elle. Sa présence est aujourd'hui considérée comme normale, acquise, faisant partie intégrale du tissu urbain. Il est grand temps de remettre en cause cette hégémonie : non, pour le plus grand nombre des usages, la voiture n'est pas indispensable ; non, il n'est pas "normal" que l'on accorde tant d'espace à un moyen de déplacement inefficace, bruyant, polluant et dangereux ; non, il n'est pas normal que nos rues soient encombrées d'engins privés ; non, il n'est pas normal que les humains en dehors des voitures soient quotidiennement mis en danger par ceux dans les voitures. Osons ré-imaginer nos rues et nos déplacements ; faisons plus de place aux moyens de transport réellement efficaces (tram, bus, marche, vélo) ; laissons également plus de place à la végétation ; au lieu de nous laisser envahir par le stockage automobile, créons dans nos rues des lieux apaisées de convivialité, d'échange, et de lien social.






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    La voiture individuelle, qu'elle soit thermique, électrique ou hybride, est à l'origine de bien des nuisances. Depuis son apparition il y a environ un siècle, et son essor il y a environ un demi-siècle, Bordeaux (comme d'autres villes en France et dans le monde) s'est ré-imaginée, re-structurée et re-construite autour d'elle. Sa présence est aujourd'hui considérée comme normale, acquise, faisant partie intégrale du tissu urbain. Il est grand temps de remettre en cause cette hégémonie : non, pour le plus grand nombre des usages, la voiture n'est pas indispensable ; non, il n'est pas "normal" que l'on accorde tant d'espace à un moyen de déplacement inefficace, bruyant, polluant et dangereux ; non, il n'est pas normal que nos rues soient encombrées d'engins privés ; non, il n'est pas normal que les humains en dehors des voitures soient quotidiennement mis en danger par ceux dans les voitures. Osons ré-imaginer nos rues et nos déplacements ; faisons plus de place aux moyens de transport réellement efficaces (tram, bus, marche, vélo) ; laissons également plus de place à la végétation ; au lieu de nous laisser envahir par le stockage automobile, créons dans nos rues des lieux apaisées de convivialité, d'échange, et de lien social.






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